• libre évolution

    « Pour faire simple, la libre évolution c’est ce qui se passe à l’endroit où les humains sont absents. »

    Pas de rando, pas de présence humaine, pas de construction, et surtout, SURTOUT, pas de « gestion » de la nature.
    Bref : « touche à rien »

    Si on y réfléchit un peu, le concept de gestion de la nature a été inventé par des gens qui voulaient surtout pouvoir justifier de leur propre nécessité, et donc leurs salaires.

    Je ne dis pas qu’il ne faut pas entretenir les jardins publics. Je dis que si on veut une résilience optimale de la biodiversité, l’humain est pathétiquement moins efficaces que 3 milliards d’année de R&D génétique sous l’oeil bienveillant de Darwin.

    C’est un peu comme quand vous payez pour de l’eau en bouteille. Ça sert à rien, ça pollue, c’est cher, et c’est beaucoup moins efficace que l’eau du robinet.

    Il est intéressant de constater que cette philosophie low cost / high output, fait son chemin (à quel prix?) même au sein d’institutions telles que l’UNESCO.

    Bon, on sait à quel rythme et à quelle efficacité avancent ces mastodontes…. Mais allez, soyons magnanimes, notons l’initiative.

  • libre évolution

    « Pour faire simple, la libre évolution c’est ce qui se passe à l’endroit où les humains sont absents. »

    Pas de rando, pas de présence humaine, pas de construction, et surtout, SURTOUT, pas de « gestion » de la nature.
    Bref : « touche à rien »

    Si on y réfléchit un peu, le concept de gestion de la nature a été inventé par des gens qui voulaient surtout pouvoir justifier de leur propre nécessité, et donc leurs salaires.

    Je ne dis pas qu’il ne faut pas entretenir les jardins publics. Je dis que si on veut une résilience optimale de la biodiversité, l’humain est pathétiquement moins efficaces que 3 milliards d’année de R&D génétique sous l’oeil bienveillant de Darwin.

    C’est un peu comme quand vous payez pour de l’eau en bouteille. Ça sert à rien, ça pollue, c’est cher, et c’est beaucoup moins efficace que l’eau du robinet.

    Il est intéressant de constater que cette philosophie low cost / high output, fait son chemin (à quel prix?) même au sein d’institutions telles que l’UNESCO.

    Bon, on sait à quel rythme et à quelle efficacité avancent ces mastodontes…. Mais allez, soyons magnanimes, notons l’initiative.

La libre évolution peut heureusement intervenir (on parle alors d’endroits à l’abandon) dans des lieux qui ont été habités par les humains. Et oui ! il n’y a pas que les zones non construites qui sont candidates à la résilience naturelle.